La chronique de Kat

« Un espion ordinaire » : La guerre froide en 1960. Un commerçant anglais, aidé par la CIA et le MI6, va tisser des liens avec un général russe afin d'éviter l'escalade nucléaire à Cuba. Un film d'espionnage captivant, et une histoire d'amitié entre 2 hommes pour sauver le monde à leur façon. A VOIR ABSOLUMENT

« Le procès de l'herboriste » : Jan Mikolasek, charlatan ou vrai guérisseur ? Il devra se défendre seul lors de son procès face à des accusations fondées ou pas sous un régime autoritaire après guerre. Personnage particulier ce Jan Mikolasek, à la fois héros pour certains, car il soigne et guérit et pour d'autres il reste détestable tant son âme est noire et son humanité inexistante. ON PEUT VOIR

« My Zoe » : Une tragédie va frapper des parents en plein divorce, Zoé disparaît. Comment se relever après la perte d'un enfant ? Autant la 1ere partie est intéressante par ce lien si indéfectible entre la mère et l'enfant autant la 2nde partie relève de la science fiction et d'une question d'éthique. A EVITER

« La fine fleur » : A ceux qui aiment les fleurs, particulièrement les roses, et l'actrice Catherine FROT, à ceux qui aiment le goût de la persévérance et du travail bien fait, ne jamais pas abandonner, alors oui on peut aller voir cette jolie petite comédie sociale. ON PEUT VOIR

« Présidents » : Toute ressemblance avec des personnes existantes est fortuite !! Une comédie pleine de légèreté avec des séquences cocasses et aux dialogues ciselés ! A VOIR ABSOLUMENT

« Je voulais me cacher » : Film autobiographique sur Antonio Ligabue, à la fois peintre et sculpteur, et génie torturé. Long, assez ennuyeux et vite déstabilisant par un tourbillon d'images et de scènes. A EVITER

« Annette » : Ce film est un conte tourné sous forme de drame musical. Une histoire d'amour qui finit mal et prend des ampleurs d'un bateau qui coule et nous entraîne dans des profondeurs abyssales. Ce qui reste : un grand jeu d'acteur, une performance surtout pour Adam Driver (sauf pour les chants!) et les Sparks. ON PEUT VOIR

« Benedetta » : Italie, au 17ieme siècle, on suit les pas de Sœur Benedetta de son plus jeune âge, où déjà elle accomplit des miracles, à ses 18 ans au couvent de Pescia où sa présence va faire des remous dans la communauté des religieuses. Alors, sainte ou folle ? En tout cas, manipulatrice et perverse, oui ! Comme dit Charlotte Rampling : On ne comprend pas toujours les instruments de Dieu. Peut être a-t-il mis Benedetta en transe, ou bien Dieu nous a envoyé une folle, qui débite des sottises pour servir ses desseins. Un film sulfureux : non ; dérangeant et déstabilisant: peut être pour certains ; bien joué : oui. On ne sort pas indifférent de ce film. A VOIR